Allez, c’est l’été, il fait chaud, alors voilà une info pas très scientifique: le parlement des religions du monde aura lieu à Melbourne, du 3 au 9 décembre 2009. Grande rencontre, avec au programme selon la pub conférences, ateliers, films, spectacles et expositions. Pendant cette semaine, tout commence le matin par un temps de culte pour chaque religion (méditation et chant bouddhiste, chrétien ou hindou; derviches tourneurs; médecine aborigène; yoga ou lecture du Coran par exemple). Ensuite, un temps pour la présentation de chaque religion, suivi d’un temps de dialogue interreligieux, puis le moment des questions engagées (éducation, écologie, sport, éthique, accès à l’eau pour tous sont certaines des propositions). La journée se termine par le temps de discussion informelle.
Ce n’est pas pour inviter à y aller (quoique, Melbourne, ça peut être sympa…), ni pour dire de ne pas y aller, d’ailleurs, que je signale l’événement, mais parce qu’il me semble symptomatique d’une certaine approche des religions – ou du religieux, comme vous voulez. Là se trouve selon moi l’intérêt principal de la chose.
Allez, bon mois d’août, pour moi ce sont encore quelques jours de vacances, donc calme plat sur ce blog encore pendant un moment. Patience!
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Anne-Laure Zwilling (9 août 2009). Le “parlement des religions du monde” sociorel. Consulté le 9 décembre 2024 à l’adresse https://doi.org/10.58079/ubs1